Depuis maintenant 3 ans, notre mission chez Freepry est d’accompagner les retailers à se lancer dans la seconde main.
Si cela est passionnant, cela est un défi de taille tant. Le passage d’une économie linéaire à circulaire transforme entièrement la chaine de valeur : du sourcing de produits à leur revente en passant par les opérations (de pièces uniques), tout y est transformé.
Symbole de ce changement, les consommateurs (autrefois uniquement clients finaux) deviennent désormais fournisseurs des retailers.
Initialement positionné sur la seconde main en magasin, notre apprentissage nous a progressivement permis de couvrir une partie plus importante de la chaine de valeur.
Freepry accompagne maintenant les enseignes sur les 4 facteurs de réussite d’un projet de seconde main pour retailers, que ce soit en magasin ou digitalisé via une plateforme que nous développons pour vous.
Voici donc les 4 facteurs clés du succès pour un lancement dans la seconde main de la part des retailers :
Je l’ai dit, la seconde main engendre des spécificités par rapport au modèle traditionnel du retail. Chaque produit étant unique, il nécessite des opérations qui ne sont pas aussi industrialisables que pour des produits neufs.
Notamment : la vérification du produit, son reconditionnement, le remplissage des informations légales (livre de police notamment), la création d’une fiche produit, une éventuelle photo ou la mise en rayon.
Avant de se lancer dans la seconde main, il est nécessaire de bien prendre en considération ces opérations afin d’envisager une internalisation de ces sujets (et donc des équipes et process dédiées).
Heureusement, plusieurs solutions existent pour industrialiser ces taches. Que ce soit en interne ou en externe, où le retailer peut s’entourer de prestataire comme Freepry. Ces solutions sont adaptées au degré d’implication voulu par le retailer dans ses opérations.
La seconde main a comme particularité qu’il faut également maitriser les flux entrants de produits (contrairement au neuf où l’approvisionnement est plus facilement maitrisable). Le sourcing de produits devient alors crucial afin de proposer une profondeur de gamme intéressante à ses clients.
Pour cela, il faut savoir mobiliser ses anciens clients, aller chercher les viviers de produits déjà en vente sur d’autres plateformes ou encore faire appel à des partenaires disposant de stocks pour garnir son offre.
Ensuite, l’un des principaux challenges actuel des retailers consiste en l’écoulement de leurs stocks. Sans une rotation rapide des stocks, il devient complexe de réinvestir ces encaissements dans sa croissance future.
Pour la seconde main, le risque existe également, d’où la nécessité de maximiser l’écoulement de ses produits. Si cela peut être en ligne et/ou en magasin, des solutions existent :
Freepry se positionne alors comme un acteur qui permet d’optimiser ces flux de produits, tant côté sourcing que revente, pour disposer d’un modèle seconde main performant, scalable et sans goulot d’étranglement.
Nous avons notamment permis a l’un de nos clients de passer d’un écoulement de 45 à 72% de ses produits de seconde main grâce à la création d’une marketplace tierce.
Revendre en magasin ou en ligne ? Cela fait partie des premières questions que se posent nos clients :
Si proposer de la seconde main en magasin permet un regain de trafic, il nécessite une formation et mobilisation des équipes, en plus d’un espace de vente. Il faut donc disposer de process afin de se lancer.
La vente en ligne, quant à elle, permet de se lancer simplement car l’implication du personnel de vente y est moins importante. Toutefois, cela engendre tout de même des opérations (précédemment citées).
Si le choix entre les deux canaux ne sera bientôt plus une solution (puisque bientôt nécessaires), notons qu’un modèle digital dispose sans doute d’une barrière à l’entrée moindre de par une équation économique simplifiée (à condition de bien gérer ses opérations ou de les externaliser auprès d’un acteur comme Freepry).
L’économie circulaire n’en est qu’à ses débuts pour les grands retailers qui basaient auparavant leurs modèles sur le linéaire. Les changements y sont tellement structurels qu’il est aujourd’hui impensable de trouver le modèle parfait du premier coup. Il faut être dans une approche test&learn pour peaufiner son modèle et répondre aux réelles attentes de ses consommateurs (que ce soit pour les vendeurs ou les acheteurs de produits, qui ont des attentes qui leur sont propres).
C’est aussi comme cela que vous pouvez améliorer votre compte de résultat/P&L seconde main, réconciliant ainsi performance économique et impact environnemental.
Pour cela, vous pouvez compter sur Freepry qui vous accompagnera dans vos projets, avec un logiciel adapté à vos besoins et un accompagnement dédié (de l’étude des attentes consommateurs au P&L projet).
Ensemble, continuons de démocratiser l’accès à la seconde main !
Thibaut BOIZIAU