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Pourquoi faut-il compter sur la seconde main dès 2021 ?

Dernière mise à jour : 26 avr. 2022


Amis commerçants, welcome back sur notre blog !

Dans ce second article, nous entrons dans le vif du sujet : la seconde main.

« L’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt » ; alors on vous explique pourquoi il ne faut pas rater l’occasion de la seconde main pour profiter pleinement du large potentiel de ce marché d’avenir !

Déjà en 2020, ce marché représentait 25 à 34 milliards d’euros, soit 2% du poids total du secteur de la mode et du luxe. D’après une étude menée par Boston Consulting Group (BCG), sa croissance n’est pas près de s’arrêter : dans les cinq prochaines années, le marché devrait croître de 15% à 20% par an. De quoi effrayer les enseignes de la fast-fashion puisque le marché de la seconde main va dépasser celui de la fast-fashion en termes de volume dès 2028 !



👉 Mais qui sont ces consommateurs déjà adeptes de la seconde main ?

Millenials soucieux de l’impact de leur consommation sur l’environnement, acheteurs accrochés à leur porte-monnaie, chineurs, fashionistas avec un dressing débordant…

La plupart des échanges s’effectuent via des plateformes en ligne telles que Vinted (16 millions d’utilisateurs), VestiaireCollective (8 millions d’utilisateurs) mais lorsque l’on cherche un article de marque et de qualité, les bons vieux dépôt-ventes ont toujours autant la cote ! Il vous suffit d’aller déposer toutes les pièces dont vous voulez vous débarrasser et une fois qu’elles sont vendues, vous récupérez environ 50% du prix de revente.


Autrement, pour les fans de vintage à bas prix, rendez-vous dans les friperies à Châtelet. Prix au kilo ou pastilles de couleur renvoyant à un tableau général des prix, il vous est possible de trouver de sacrées pièces vintages. On trouve par exemple chez Fripes Therapy dans le 3ème arrondissement de grandes marques de luxe comme Acné, Lanvin, Burberry etc, à prix cassés !


Étant conscientes du potentiel de ce marché, certaines marques proposent elles-mêmes depuis peu des corners seconde main. Cette nouvelle tendance séduit aussi de plus en plus de boutiques indépendantes multi-marques ou les Grands Magasins car cela leur permet de renforcer la fidélisation de leurs clients.


Quel est leur secret commun ? Freepry !


Grâce aux différentes modules complémentaires Freepry, les acteurs traditionnels peuvent désormais revendiquer facilement leur droit à la seconde main. De part son offre phygitale mêlant le meilleur du physique et du digital, les boutiques peuvent désormais proposer un service seconde main à leurs clients pour augmenter leur activité tout en restant concentré sur leur cœur de métier.


Spoiler : on reviendra sur ce sujet dans un prochain article 😉


Des infos pratiques, un concentré de l'actualité et pleins de bons plans ça vous tente ?




👉 Et pourquoi acheter en seconde main ?

L’éveil d’une conscience écologique de plus en plus généralisée a tout d’abord influé sur les intentions et habitudes d’achat. L’utilisation de matières premières polluantes, l’empreinte eau (2 500L d’eau pour 1 t-shirt en coton) et carbone, l’usage de pesticides et les conditions de travail des petites mains de la fast-fashion ne laissent plus les consommateurs indifférents. C’est dans le processus de transformation des matières premières que l’usage de substances chimiques est le plus problématique : la teinture des vêtements est la deuxième cause de la pollution de l'eau dans le monde d’après une étude menée par l’UNESCO, et la technique de sablage des jeans pour les délaver présente de grands risques pour la santé des travailleurs causant notamment des fibroses pulmonaires.


Se tourner vers la seconde main, c’est donc être soucieux de l’environnement. D'ailleurs, 45% des interrogés dans l'étude menée par BCG se disent motivés à revoir leurs habitudes de consommation afin de protéger l'environnement.


Ceux qui n’ont pas encore sauté le pas ne devraient pas tarder à le faire ! Outre la conscience de faire une bonne action pour la planète, la seconde main est en moyenne 40 à 70% moins chère que le neuf, en fonction de l’état du bien. C'est bien ce qui motive 67% des consommateurs à acheter des vêtements d'occasion.


Préparez-vous… d’ici 2023, les articles de seconde main occuperont 27% de notre garde-robe 👕 !

Et même au-delà de notre dressing, la seconde main s’adapte à tous les goûts. Tout se revend : meubles, accessoires, chaussures…

Le vintage prend du poil de la bête et séduit un panel de consommateurs de plus en plus exigeant et raffiné. Une vraie opportunité pour les marques de luxe de gagner des parts de marché : J.M. Weston l’a bien compris depuis quelques années en vendant ses propres modèles vintage directement en boutique. La marque A.P.C récupère désormais vos jeans pour les revendre et vous offre un bon d’achat à hauteur de 50% du prix neuf, de quoi ravir votre porte-monnaie et votre garde-robe.


C’est le fait de conserver une expérience client directement en boutique qui permet de garder une image de marque puissante et d’appuyer sur l’authenticité des produits.

Fini l’incertitude concernant l’état réel du produit, l’absence de garantie et le manque de recours en cas de litige : principaux freins à l’achat rencontrés sur les plateformes en ligne.


Dans l'étude que nous avons réalisée auprès de 1152 personnes, 73% des individus tentés par l’achat de seconde main comptent le faire directement en magasin.



Rendez-vous dans un prochain article pour plus de détails à propos de l’expérience client sur les plateformes de revente en ligne 🔥


Ne ratez plus l'occasion de la seconde main !



Sources: lexpress.fr, commarketing-news.fr, fashionnetwork.com, bcg.com, youmatter.world




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